Vague à l'âme

A-t-on le droit, au sein même du lycée, de faire....??
*sourire en coin^^*
Alors moi je commence à flipper dès que les escaliers se mettent à grincer.
Mais dieu que c'est bon, parce que ça a un goût d'interdit justement...

La rentrée.
Le début des cours.
Les retrouvailles.
Des sourires.
Le plaisir de revoir ces gens.
Le bac aussi.
Les pâtes de la cantine.
Des profs, plus ou moins passionnants...
Sept nouvelles filles, et notre classe explose son quota de blondes!
Et finalement, c'est pas si mal de reprendre le lycée.
Elle me manquait cette ambiance-là.

Comme une impression de déjà vu...

Les oreilles qui bourdonnent.
La musique qui résonne.

Ces sourires qui défilent.
Et ses yeux qui pétillent.

La plume qui me démange.
Cet estomac qui me dérange.
Et je ne suis décidemment pas un ange.

Etrange sensation que l'appel du vide.
Et mon amour pour elle n'a pas pris une ride.

Les regards détournés.
Les kilomètres avalés.
Dans l'espoir d'oublier, de l'oublier.

Les paysages apaisants.
Les mots alignés sur le papier blanc.
Et ces maux qui dévorent, toujours dérangeants.

La belle notion du partage.
Et mes plaisirs d'un autre âge.
Mais où est-il mon mage?

Mon coeur de velours.
Son humour un peu lourd.
Ca se bouscule à la cour.

Assaillie par le doute.
Coûte que Coûte.
Il est dit chacun sa route.

Vaille que vaille.
Je m'envole. Aïe.

Voilà la fin des vacances qui arrive, et un bilan s'impose. Je vais donc faire un nouveau listing des livres lus ou relus cet été( qui n'intéresse que moi, je me doute bien^^) , parce que toutes ces oeuvres auront vraiment fait de mon été un océan de mots, un soleil de l'oubli et un régal pour l'imaginaire.

Le Petit Prince - Antoine de Saint-Exupéry
Troubles dans les Andains - Boris Vian
Oscar et la dame rose - Eric-Emmanuel Schmitt
La grammaire est une chanson douce - Erik Orsenna
Au bonheur des dames - Emile Zola
Le sang du temps - Maxime Chattam
Balzac et la petite tailleuse chinoise - Dai Sijie
Le Dao De Jing - Lao Tseu
Beauté - André Dhôtel
La Condition humaine- André malraux
La terre chinoise - Pearl Buck
La tempête - René Barjavel
Les Planches Courbes - Yves Bonnefoy
Forteresse digitale - Dan Brown
Salammbô - Gustave Flaubert
Le dernier templier - Raymond Khoury
Fêtes galantes - Verlaine
La bonne chanson - Verlaine
Romances sans paroles - Verlaine
Jadis et naguère - Verlaine
Parallèlement - Verlaine
Lourdes - Emile Zola
Attentat - Amélie Nothomb
L'Enchanteur - René Barjavel
Le vol de nuit - Antoine de Saint-Exupéry
Le père de nos pères - Bernard Werber
Jacques le fataliste et son maître - Diderot
Ensemble, c'est tout - Anna Gavalda
Les métamorphoses - Ovide
La Vagabonde - Colette

Mention spéciale au magazine PHILOSOPHIE, que j'ai découvert cet été, et qui est vraiment formidable, qui m'a fait apprendre pleinde chose et fait évoluer ma pensée. Le dernier évoque, entre autre, les voyages philosophiques, car les grandes évolutions de la pensée passent par des voyages, aller à la découverte d'autre monde, d'autres paysages et d'autres coutumes qui vous ouvrent les yeux sur votre propre réalité. A lire absolument.

Imaginez: je suis tout droit sortie de l'ENA, la célèbre Ecole Nationale d'Administration, et je vais vous débiter un petit discours comme les politiques savent en faire, c'est-à-dire parler pendant dix minutes pour ne strictement RIEN dire, ne répondre à aucune question, et finalement vous prendre pour des c...
Mais surtout, n'oubliez pas d'y mettre l'intonation et la force de conviction...

"Mesdames, messieurs, la situation d'exclusion que certains d'entre vous connaissent interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous à aller de l'avant dans la voie d'une valorisation sans concession de nos caractères spécifiques.
Dès lors, sachez que je me battrai pour faire admettre que la conjoncture actuelle oblige à la prise en compte encore plus effective d'un processus allant vers plus d'égalité.
Par ailleurs, c'est en toute connaissance de cause que je peux affirmer aujourd'hui que l'acuité des problèmes de la vie quotidienne doit s'intégrer à la finalisation globale d'un avenir s'orientant vers plus de progrès et plus de justice.
Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que la volonté farouche de sortir notre pays de la crise conforte mon désir incontestable d'aller dans le sens d'une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité.
J'ai depuis logtemps (ai-je besoin de vous le rappeler?), défendu l'idée que l'effort prioritaire en faveur du statut précaire des exclus a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité d'un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun.
Et c'est en toute conscience que je déclare avec conviction que le particularisme dû à notre histoire unique doit prendre en compte les préoccupations de la population de base dans l'élaboration de solutions rapides correspondant aux grands axes sociaux.
Et ce n'est pas vous, mes chers compatriotes, qui me contredirez si je vous dis que l'aspiration plus que légitime de chacun au progrès social doit nous amener au choix réellement impératif d'un programme plus humain, plus fraternel et plus juste.
Je reste fondamentalement persuadé que la nécessité de répondre à votre inquiétude journalière, que vous soyez jeunes ou âgés, entraîne une mission des plus exaltantes pour moi: l'élaboration d'un projet porteur de véritables espoirs, notamment pour les plus démunis."

Quoi?! Vous croyez entendre notre cher Président, ou bien Sarkozy, ou encore ce cher Mr Hollande! Eh bien, vous avez raison, il emploient tous cette langue réservée aux politiques, qu'eux seuls parlent à merveille: la langue de bois!
Alors oui, tant de lignes pour ne vous apprendre strictement rien au final, et vous noyer sous de belles paroles et de belles formules... Vous ne connaissez même pas les idées du politique en question, ni ses projets ou solutions, à part une facette de sa personnalité: sa prodigalité pour tous nous rouler. Les politiques ont finalement de grands talents pour l'illusionnisme!

Les élections présidentielles de 2007 approchent, ne vous y méprenez pas!

Cela fait longtemps que je ne suis pas venue par ici. J'étais en vacances, enfin partiellement, parce que mes maux eux ne sont jamais en vacances. Mais ces derniers temps, ils semblerait que les mots se défilent, me fassent défaut, que les mots, mes mots, mentent et soient impuissants pour exprimer ce qui me ronge et bout en moi. Ceci explique ce long silence, qu'il me semble bon de briser, pour enfin retrouver ces mots d'antan, qui me manquent tant.

Je suis de retour de vacances donc, et il s'en est passé des choses.

Tout d'abord, il y a eu un petit séjour chez mes grand-parents, dans le lot-et-garonne: la chaleur dévorante, un abus de thermes et autres centres aquatiques, les bouquins que je dévore, et l'ennui profond. Et surtout, il faut parfois bien du courage pour les supporter les grand-parents! Entre les gens qui se gueulent dessus à longueur de journée, pour un oui ou pour un non, la grand-mère qui ressasse tout le temps, qui passe son temps à pleurer ainsi que la tante, les non-dits qui dévorent, les sous-entendus qui épuisent... Les nerfs finissent par lâcher! Et la mamie, 83 ans, qui se permet de vous faire des réflexions et de vous envoyer bouler à tout bout de champ, en vous renvoyant évidemment la faute dessus dès que possible ( c'est à dire tout le temps!), alors, le ton monte, les cris fusent, les larmes jaillissent, les insultes se retiennent. Et l'on en vient à évoquer le respect, parce que c'est dans les deux sens il est vrai, et que ce n'est pas parce qu'elle a 83 ans qu'elle a forcémment raison, et qu'elle ne doit pas s'incliner et venir demander pardon à plus jeune qu'elle. Reste donc plantée sur tes positions, et la Terre continuera de tourner! En attendant, continue de culpabiliser les autres, de dire que ma soeur est insolente et qu'elle l'a toujours été, qu'elle est en train de me détruire et avec, toute ma famille, et que si je n'ouvre pas la bouche dans cette maison c'est à cause d'elle. Je peux désormais te dire que c'est bien à cause de toi, de vous, et de l'ambiance pourrie qui règne ici. Pendant une semaine donc, sourire de rigueur et yeux rougis. Elles commencent bien les vacances!

Alors, pour me réconforter un peu, il y a eu les retrouvailles avec mon jeune homme, cette passion renouvelée, redoublée à chaque instant, les folles étreintes dans sa piscine, et mon coeur qui n'en finit de gonfler... Puis, un beau jour qu'il était loin de moi, il a fallu qu'il m'envoie ce message, perturbant et déconcertant, un de ceux qui font couler bien des larmes. Et lui de me demander de lui écrire une lettre, avec franchise et sincérité, pour lui écrire mes pensées, sur lui, sur nous. C'est que meussieur a peur du flou qui  lui semble s'immiscer entre nous, et qui pourrait, selon lui, tout briser. Et pourtant... Alors oui, il aura été utile ce message, il m'aura ouvert les yeux, moi qui semble être trop idéaliste et ne pas l'avoir vu arriver ce flou dévastateur. Me remettre en question, ça je sais faire. Alors seul le futur pourra certifier l'avenir de ce "nous"...

Il y a eu aussi une petite semaine passée à Seignosse, au bord de l'océan, avec une amie. Du soleil, des vagues, un bronzage qui se sublime d'instant en instant (!), des parties de cartes à gogo, et la joie de faire naître un sourire sur ce visage... Une semaine comme on aimerait en passer tant d'autres, mais tout a une fin, et il faut le quitter cet horizon qui m'a si souvent happée, et emmenée avec lui, au grès des vagues et du scintillement du soleil sur leurs flancs, loin, bien loin de ma réalité.

Depuis quelques temps, il semblerait que je sois devenue accro au sport! Si si! Ceux qui me connaissent vous diront que ce n'est pas possible, et il vrai que je n'ai jamais été une grande sportive. Mais désormais, tout a changé! Un nouveau souffle coule dans mes veines, et mes muscles s'agitent, il faut donc les satisfaire! Alors, c'est une festival de natation, marche, footing, courses en vélo, et autres concours de step qui rythme mes journées. Espérons que cela durera, parce que je me sens bien mieux depuis que le sport fait partie intégrante de ma vie. Et quel plaisir cela est de découvrir de jours en jours l'existence de nouveaux muscles, et de les voir se développer, et ainsi faire fructifier votre santé, tant physique que morale. Parce que, ne l'oublions pas, le sport c'est bon pour le moral! Je crois que c'est une de mes découvertes de l'été, et que c'est en partie grâce à cela que je suis sortie indemne de cette saison habituellement dévastatrice en ce qui concerne mes états d'âme.

Et puis, tout récemment, je reviens de quelques jours passés en Charente chez de la famille, à Fourras ( oui, c'est bien la contrée du célèbre Père Fourras!!). Alors, le bon oxygène de la mer vient ravigorer les poumons, les ballades en bateaux ravissent les yeux et nourissent l'imagination, et le Fort Boyard et bien plus beau en vrai!
Et surtout, j'ai eu l'occasion de revoir une petite cousine de 4 ans qui était en vacances chez ses grand-parents. Et, quel bonheur de retrouver les joies de l'enfance! J'ai donc passé trois jours à sauter sur les lits, faire des chatouilles, lire des histoires, me cacher dans les cabanes, jouer à la dinette et autres jeux qui animent les journées des tout petits. C'est une sensation perdue depuis longtemps qui m'envahit de nouveau, je perçois mes sens frétiller, mon imaginaire se développer, pour parvenir à pénétrer un autre univers, son mode à elle, le monde de l'enfance. Cette enfance trop tôt quittée, dont je me suis trop vite sevrée, ces doux instants qui me manquaient, je les ai retrouvés. C'est que je me sentais investie d'une mission toute particulière: rendre le sourire à cette petite fille, et l'espace d'une journée, lui faire oublier la douleur, la souffrance, et la terrible échéance, qui ne cesse de s'approcher, toujours plus près... parce que sa maman est très malade, passe ses journées à l'hôpital: un cancer qui dévore tout sur son passage, jusqu'à la joie de vivre de sa fille. Et comme un enfant c'est fait pour rigoler, je me suis engagée de tout mon coeur pour tenter de la rendre heureuse, la petite, et j'ose espérer y être parvenue. Il paraît que le sommeil de l'enfance s'achève en oubli... Espérons-le.

Les vacances sont presque terminées, la rentrée approche à grands pas, mais j'entends bien profiter des derniers jours qui me restent pour parfaire ma musculature (!), faire la fête, et passer d'agréables moments avec les gens que j'aime, et aussi, recoller les morceaux avec d'autres.

Fin de cette note déjà bien trop longue!

Sans commentaire. Sauf si vous avez envie de partager ma joie!
Et moi, je compatis avec certaines personnes, qui méritaient beaucoup plus que ce qu'elles n'ont eu. Allez va, c'est un accident, tu le sais très bien que tu vaux cent fois mieux. En tout cas, moi je le sais alors...

Une superstition : aucune
Une religion : le bouddhisme
Une épice : la canelle
Une caresse : l'avant-bras
Une lettre : la sienne, du moi de mai
Un crime : pulsions sanguinaires
Un vice : nos batailles de cheveux ^^
Une île : Kerguelen
Un océan : Pacifique
Un parfum: Amor Amor de Cacharel
Un mets : le fondant au chocolat
Une langue : l'espagnol
Un fruit : les fraises!!
Une invention : le langage des yeux
Une boisson : le jus d'orange
Un complexe : mes cuisses
Des chaussures : des vans, vous savez, celles avec des pingouins roses dessus!
Un outil : le regard, mes doigts
Une perversion : ses yeux, ses mains
Une larme : toutes celles...
Un mode d’éclairage : sa lumière
Un animal : un papillon
Un poème : Vagabonds de Rimbaud
Une maladie : l'indécision
Un film : Billy Elliot
Une couleur : le bleu de ses yeux
Une année : 2006
Un point fort : les mots (écrire)
Un point faible : les mots (parler)
Une fleur : une rose, peut importe la couleur
Un alcool : vodka et gin
Un pays : le Népal ou la Chine, et le Tibet
Un bijou : une bague
Un bonbon : les schtroumpfs!!
Une arme : la poésie
Un oiseau : une colombe
Un arbre : un saule pleureur
Un sentiment : la passion
Une date : 14 avril 2006
Un chanteur : Keren Ann et Ska-P, totalement différent mais bon...
Un livre : Les Mots de Jean-Paul Sartre
Une réincarnation : en fleur, pour pouvoir être cueillie et mener une vie éphémère
Un jouet : une voiture téléguidée
Une radio : RTL2
Une chanson : Cannabis de Ska-P
Un cd : Not going anywhere de Keren Ann
Un vêtement : un bon vieux baggy
Un déguisement : celui de clown
Un chiffre : 3
Un nombre : 10
Un sport : badminton
Un paysage : un paysage intérieur, celui du coeur
Un phénomène naturel : le vent et la pluie
Un personnage historique : Marie
Un personnage fictif : Naru dans Love Hina
Un auteur: Boris Vian, Jean-Paul Sartre, Rimbaud et Christian Bobin
Un endroit du corps : les mains, et l'avant-bras toujours
Un mois : avril
Un art : la littérature
Une planète : Pluton
Un pouvoir magique : lire dans les pensées des gens
Un lieu : ce banc là
Une conjugaison : le présent
Un jeu : action-vérité
Un espoir : réaliser mes rêves
Une personne que vous aimeriez rencontrer : moi
Une peur : l'avenir
Une odeur : la sienne
Un moyen de transport : l'avion
Un instrument de musique : le piano
Un péché capital : la paresse
Un jour de la semaine : vendredi
Un élément : l'air
Un verbe: rêver

J'ai eu une fin de semaine assez rude sur le plan soirées dira-t-on.
Mercredi soir: fête chez Jean, c'était un repas de classe à la base, mais on est pas mal à s'être incrustés quand même. Et pis, j'avais une demande express, je ne pouvais laisser mon jeune homme tout seul tout de même... Parce que c'est quand il y a le plus de monde autour de nous que l'on a besoin l'un de l'autre. Seulement, mes chers parents refusent de me laisser dormir là-bas, comme tout le monde. permission de 11h30, trop dégoûtée!! Alors, on a bien profité du peu de temps qui nous était accordé. Et puis ce soir, aucun abus n'est autorisé, je refrène donc mes ardeurs vis à vis de la bouteille de vodka, parce qu'il faudrait pas que ma mère se doute de quoi que ce soit... On aura donc passés la soirée ensemble, rien que tout les deux, enlacés dans un fauteuil, à s'embrasser tendrement. Puis, il me dit qu'on va aller faire un tour, et m'emmène au bord d'une rivière, au clair de lune, seuls, et j'étais heureuse dans ses bras moi. On dirait même que ce que j'espérais est enfin arrivé, j'ai assassiné le "fort", j'ai eu droit à mon premier "je t'aime", un vrai sincère,  après presque trois mois. On reviendra tout doucement à la réalité et à la maison de Jean, à travers champs, deux grands enfants, à l'aventure, obligés d'escalader les murettes, parce que bloqués... Douce soirée.

Vendredi soir: Bal à Juillan. Avec Maylis, Stefan, Roxane et Marine. On revoit bien du monde, on reconnait quelques visages deci, delà. Et puis moi, j'ai dansé comme jamais, pendant quatre heures d'affilée! C'était vraiment super. Euphorique comme jamais, l'alcool aidant il est vrai. heureusement que j'avais les consos gratuites parce que sinon... Soirée assez chaude pour tout dire... Des couples qui se forment, et moi qui croise Arnaud, dans un état passable dira-t-on, tout comme moi, et qui commence à me draguer sur un slow, me disant de profiter parce que mon copain n'était pas là. Sauf que moi, je résiste à la tentation. On finira au bar, il m'a gentilment payé une conso, et puis moi, hop je me suis éclipsée lui accordant quand même un tendre bisou sur la joue. Je m'en suis voulue sur le coup, parce qu'il est quand même adorable lui. Couché 5h, levé 8h, insomnies oblige... On a beaucoup discuté aussi, essayant d'arranger et d'éclaircir les histoires de coeur et de conscience d'une certaine demoiselle. Folle soirée.

Samedi soir: Le match France/Brésil!! Et oui, je suis aussi le football, j'adore. En fait, je regarde que les matchs de l'équipe de France. J'avais parié 2-0, premier but de Henry, mais ils ont pas voulu me donner tout à fait raison, le compteur restera bloqué à 1-0. Effervescence, euphorie. Les matchs me passionnent ces derniers temps... Ensuite, je suis allée faire un tour en ville, où il y avait un pseudo-concert de la star académy. Nullissime en somme, comme prévu. Je suis donc bien vite rentrée chez moi. Suspense soirée.

Morceaux choisis:

" Tout le monde tient le beau pour le beau
c'est en cela que réside la laideur.
Tout le monde tient le bien pour le bien,
c'est en cela que réside son mal."

"Le voyage de mille lieues commence par un pas."

"Produire sans s'approprier,
agir sans rien attendre,
guider sans contraindre,
voilà la vertu suprême."

"La perfection suprême semble imparfaite;
La plénitude suprême semble vide;
La droiture suprême paraît sinueuse
L'habileté suprême paraît maladroite
L'éloquence suprême paraît bégayante."

"C'est par le non-agir que l'on gagne l'univers."

"Le souple vainc le dur
Le faible vainc le fort."

"Rien n'est plus souple et plus faible que l'ean,
Mais pour enlever le dur et le fort, rien ne la surpasse
Et rien ne saurait la remplacer."

"Connaître, c'est ne pas connaître:
Voilà l'excellence.
Ne pas connaître, c'est connaître
Voilà l'erreur."

"La voie du ciel ignore le favoritisme,
elle récompense toujours l'homme de bien."

Alors, ça vous inspire plein de choses n'est-ce pas?
C'était le Dao De Jing , ou Le livre de la voie et de la vertu, le livre fondateur du taoïsme.
Ah! Ce cher Lao Tseu...